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les boutons et la dent manquante ne sont pas factices!

On l'attendait, elle est là et bien là, la dernière varicelle!!! Grosse fatigue, douleurs, démangeaisons: la miss n'est pas à prendre avec des pincettes! La petite souris a eu la bonne idée de passer en même temps, petit réconfort. Une chance, mes parents étaient là ces derniers jours. En plus elle a passé de bonnes nuits: franchement, je n'ai pas à me plaindre! Et samedi, les vacances!!!

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Jeudi dernier, nous sommes allés aux champignons. La journée avait été choisie pour le beau temps, le vent bien moins fort. La route était un peu longue, Lucile un peu barbouillée, mais ça en valait la peine. Un panier plein (pas par moi, hein!!), des grandes qui jouent le jeu et des petits qui ne trainent pas la patte. Une longue matinée au bon air. Plus tard dans la semaine nous avons dégusté un risotto aux cèpes et aux girolles grises...

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Prendre le train Gare du Nord, avoir très très chaud, choisir un compartiment, comme avant, avoir un peu mal au coeur, lire des histoires, s'allonger un peu, escalader, courir dans le couloir, s'évader... Déjà un peu les vacances, pour trois petites journées.

dans le train de 17h01

Et ce matin marcher pieds nus sur le sable si fin...

plage du Touquet, 29 juin 11 heures

Bon week end!!!

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petit dèj très sarrasin... (le miel de sarrasin n'a pas le goût du sarrasin... à mon goût!)

Pour faire plaisir à la petite/grande cousine en visite chez nous le week end dernier, j'ai voulu faire un gâteau au chocolat. Je ne fais quasiment jamais de desserts au chocolat car M. n'en mange pas. La honte: j'ai complètement loupé mon gâteau, raté, foiré, presque pas mangeable (donc mangé uniquement par moi... bonjour les kilos!... en même temps avec la température ambiante de la maison, j'ai besoin de me faire un peu de gras!). Par contre je crois que je peux me vanter de réussir quasiment à chaque fois mes pâtes à tartes, c'est un peu ma spécialité, même qu'ici il ne reste jamais un morceau de "croûte" sur le bord de l'assiette! La semaine dernière j'avais fait des cookies au citron (trop bons!!!!) et comme il me restait un pot presque complet de lemon curd (d'ailleurs cette recette me plait beaucoup, car sans beurre, donc je peux en manger plus!) j'ai eu envie d'une tarte au citron. Aussitôt dit, pas vraiment aussitôt fait... plus assez de farine! Qu'à cela ne tienne: j'ai complété avec un peu, un tout petit peu de farine de sarrasin (merci la Chandeleur!) et une bonne cuillère de purée de noisette... Un régal (et en plus les enfants ont moins aimé, donc encore plus pour ma pomme!!!). Mardi soir rebelote: envie de tarte pour finir de la compote pomme-cassis. Là j'ai mis un peu moins de beurre que d'habitude, j'ai ajouté une grosse cuillère à soupe de purée d'amande blanche et un peu de crème... et ma tarte a obtenu le label "à refaire" haut la main! Y'a pas à dire, j'suis vraiment tarte!

Pâte sarrasin/noisette: mélanger 1 oeuf et deux càs de sucre - incorporer 170g de farine blanche et 30g de farine de sarrasin - ajouter ensuite 100g de beurre et 1càs de purée de noisette et pétrir

Pâte amande/crème: mélanger 1 oeuf et deux càs de sucre - incorporer 250g de farine blanche - ajouter ensuite 80g de beurre, 60g de purée d'amande blanche et 2ou3 càs de crème liquide (selon consistance) et pétrir - cette pâte s'étale très mal, prévoir plutôt de l'étaler avec la paume de la main directement dans le moule et sur une certaine épaisseur

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???

pieds anonymes, parc de Sceaux, dimanche 1er septembre

Hier, j'ai re-chaussé mes runnings... Pas de folle envie de courir, non. Ça ne m'a pas manqué, cet été. Les chaussures m'ont pourtant suivie partout, mais sont restées sagement dans une valise. Mais hier, j'avais envie de ce moment partagé avec G., de ce moment où l'on peut parler, vraiment, où l'on ne peut que parler. On a parlé de l'année prochaine, quand nous serons forcément ailleurs puisque nos propriétaires reviennent, parlé de l'année prochaine qui est encore très très floue... Dès maintenant il va falloir que je réfléchisse à ce dont j'ai envie, ce dont j'ai besoin, ce dont nous avons besoin ou risquons d'avoir besoin, que je mette aussi les souhaits de tout le monde dans la balance, que je rajoute un poids pour la crise et un autre pour les aléas  divers et variés... je ne sais pas ce qui va en ressortir! Mais je ne lui ai pas posé la question existentielle du moment: FB or not FB (si vous êtes adeptes ou si au contraire tout à fait contre, je veux bien votre opinion!, qu'est ce que ça vous apporte?, qu'est ce que vous fuyez?)

Bonne rentrée!

???

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Nous sommes arrivés en Bretagne accueillis par un crachin bien du coin. Mais c'est pas ça qui va faire peur à une native du Pays Bigouden ;) Hier, footing sur la plage, bain de mer (seule, hélas...) pendant que les petits jouaient au sable et à l'eau, puis promenade le soir... me suis couchée bien crevée!

plage de Pentrez, 18 juillet, 20h59

(des soucis pour recevoir des mails, je crois, mais vous pouvez me laisser des commentaires, hein!?)

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Ça ne paie pas de mine, mais c'est notre dessert de l'automne, le top de la saison. Une sorte de pain au lait aux pommes: peu sucré, peu gras, une soupe avant et hop, voilà un repas du soir nourrissant et raisonnable.

250g de farine         30g + 30g de sucre        50g + noisettes de beurre      4 grosses pommes      lait       1 sachet de levure de boulanger

Mélanger farine, 30g de  sucre, levure et 150ml de lait tiède. Ajouter le beurre et pétrir jusqu'à ce que la pâte se décolle des doigts. Laisser gonfler sous un torchon (au moins une heure). Éplucher les pommes, les couper en petits dés et les sucrer (on peut aussi ajouter de la cannelle). Partager la pâte en 4. Étaler finement chaque petite boule et garnir la pâte de pomme. Refermer en chausson (humecter les bords de lait pour que chaque chausson reste bien fermé). Disposer les 4 chaussons dans un plat beurré et arroser de lait aux 2/3 de hauteur. Mettre une petite noisette de beurre sur chaque chausson. Faire cuire 20 minutes dans un four chauffé à 180°.

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ciel de Provence... photo Opa Dom

Parfois, quand j'ai le cafard, il me suffit de lever les yeux et m'émerveiller des nuances toujours renouvelées du ciel... même en banlieue!

D'où cette nouvelle rubrique... un peu facile j'en conviens (!), dans laquelle je posterai des photos de ciels (même pas nécessairement de moi!)

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Participation un peu à retardement au petit exercice de Madame 5min30s. Comme elle, ici, je me lance. C'est incomplet. Mais bon

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D. Barrot, paysage

J’aime la pluie quand elle promet d’être brève. J’aime la chaleur quand elle ne dure pas. J’aime les ciels qui bougent, les nuages qui passent, les gris qui se déclinent à l’infini. J’aime le soleil du soir encore un peu plus que celui du matin. J’aime la neige à gros flocons, la neige qui crisse, la neige qui plonge la ville dans un silence feutré. J’aime la mer et bien moins la montagne. De la mer, j’aime les côtes, le sable, les rochers, la lumière, le parfum. J’aime marcher. J’aime marcher le soir, le long d’une plage, ou bien quand il fait froid, qu’il y a du vent, un peu de pluie ; marcher l’hiver, avec la promesse d’un bon goûter, pourquoi pas des gaufres. J’aime marcher sur des sentiers pierreux aux odeurs de garrigue, gravir les collines et surplomber les petites vallées. J’aime longer des rivières et y tremper mes pieds. J’aime les « t’es pas cap’ » quand l’eau est glacée et que je suis bien tentée de m’y plonger. J’aime les vagues salées et l’eau douce et limpide. J’aime me perdre dans les rues de la ville que je ne connais pas encore, j’aime les fenêtres, les regards derrières les fenêtres, les volets aux peintures écaillées, les vieilles portes, les portes qui laissent entrevoir la vie, derrière. J’aime les marchés.  J’aime les quais, les grues, les rails qui s’éloignent, les bateaux qui rentrent, les hangars, les jetées. J’aime les ports et les cris des mouettes ; j’aime les chemins de terre et les stridulations des cigales. J’aime les chapelles romanes, les fontaines, les lavoirs, et les chaises sorties, le soir, sur les trottoirs, l’été. J’aime les vieux arbres et les cabanes. J’aime les friches et ces jardins où le travail de l’homme se laisse oublier : des graminées légères, quelques fleurs discrètes, de vieux rosiers grimpants, des arbustes rarement taillés, de l’herbe, des mousses et puis des pâquerettes, quelques pots ébréchés entassés dans un coin, un banc. J’aime les petits jardins en ville quand ils sont presque à l’abandon. J’aime les couleurs de mousses et de lichens sur les dalles en béton. J’aime la rouille. J’aime le bric à brac et les odeurs de térébenthine. Et puis l’odeur du bois, l’odeur des planches de chêne quand on les scie, une odeur lourde, presque brûlée. Et même celle du métro, des vieilles rames quand, par endroit, elle me fait penser aux marrons grillés. J’aime les odeurs de camphre, ces odeurs qui font passer les rhumes. J’aime les parfums légers quand ils se mêlent à celui de la peau. J’aime les vapeurs de chocolat quand on le fait fondre. J’aime les tartes, mes tartes et les mille feuilles des boulangers, les plus simples. J’aime les soupes et les gâteaux. Parfois j’aime même tremper le doigt dans la pâte à tartiner, ou lécher mon assiette. J’aime pétrir, malaxer. J’aime bien faire la vaisselle en regardant par la fenêtre. J’aime regarder les gens passer dans la rue. J’aime observer les familles, les enfants, les nounous dans les parcs. J’aime écouter mes voisins dans le bus, le métro ou le train. J’aime la main de l’enfant qui se blottit dans celle de la  grande personne. J’aime les petits doigts miniatures des bébés et leurs poings serrés qui frémissent puis s’ouvrent quand ils s’endorment enfin. J’aime les mains qui se frôlent ou  qui s’agrippent. Et puis celles qui volent sur les touches, qui pincent les cordes et font danser l’archer. J’aime quand les enfants se mettent au piano ; parfois même les impros tonitruantes des petits. J’aime le son du violoncelle. J’aime Bach par Goult et les concertos pour piano de Mozart ; les impromptus de Schubert et le silence aussi, beaucoup. Pourtant j’aime quand ma maison est pleine. J’aime le passage des amis, des parents, des copains des enfants. J’aime les grandes tablées, les matelas par terre. Mais j’aime aussi prendre seule mon petit déjeuner, quand tout le monde dort encore. J’aime le pain grillé et le miel, le thé noir ou parfumé. J’aime ma tasse, souvenir de la première classe de neige de R., ou bien la deuxième. J’aime tout garder. J’aime cuisiner les restes, imaginer un menu en utilisant ce qu’il y a dans mes réserves, sans retourner faire des courses. J’aime mon petit super marché trop cher, mais où l’on parle encore aux caissières. J’aime que le maraîcher du marché me reconnaisse et me donne toujours un légume difforme pour la soupe ou des tomates trop mûres ou des pommes à peine tachées. J’aime croiser des visages connus quand je fais mes courses. J’aime les bonjours, les sourires amicaux, les rencontres fortuites, les discussions improvisées dans la rue. J’aime, quand je me balade en ville avec G., croiser des personnes qui me saluent et jouer la fille importante. J’aime me croire utile, parfois, en dehors de chez nous. J’aime bien-faire ce que l’on me demande. J’aime trouver le bon cadeau. J’aime faire moi-même, mais j’aime quand ça va vite. J’aime prendre le temps, perdre mon temps, traîner. J’aime pourtant, à la fin de la journée, me dire qu’elle a été bien remplie. J’aime mes contradictions, celles des autres aussi.

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Les j'aime pas... une autre fois... peut être.

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Peu d'entrain en ce moment pour écrire ici. Pourtant G. est rentré il y a une dizaine de jours du Japon. Le père Noël n'aurait pas beaucoup mieux fait! Dans la hotte nippone, des incontournables produits "duty free", des joujoux pour les petits, mais surtout de beaux papiers et un stock de masking tape. Pourtant, la semaine dernière, on a eu un avant goût d'été et le parc s'est animé (je ne m'y suis même pas ennuyée!). Pourtant, dans le bistrot d'à côté (et quand je dis "à côté" c'est vraiment tout près!!) s'est organisé jeudi  le premier café citoyen: occasion de rencontrer, écouter, discuter... Pourtant, vendredi, j'ai accompagné la classe des petits à un chouette pestacle "vraiment super", surtout vraiment adapté à leur âge (mais qui m'a aussi bien plu! c'est là). Pourtant j'ai assisté au conseil de classe de M. et tout roule pour elle. Pourtant nous sommes allés hier voir une expo à la Maison de la  photographie Robert Doisneau à Gentilly, expo des photos de Jean Dieuzaide et c'était beau. Pourtant, pourtant... Mais les week end passent trop vite, les journées de semaine me semblent bien longues, les absences de G. trop fréquentes, l'avenir trop flou. Et puis, samedi matin, plus de voiture devant la maison: deuxième vol en 6 mois, rien de bien grave, mais ça ne donne pas la pêche!

masking tape

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... sur le billet précédent: j'y relate ce que je devrais peut être faire pour que l'ambiance reste au beau fixe à la maison, mais soit je n'y arrive pas, soit je ne veux pas (j'ai quand même quelques principes), soit c'est complètement utopique! Bref, c'est chaque jour totale impro (et souvent total fiasco)!!!

Sauf hier, dimanche organisé (pas par moi, hé, hé...) à Giverny pour l'ouverture des jardins. Pique nique un peu frisquet puis visite. Nous étions avec un groupe de notre quartier (nous avons vraiment beaucoup de chance côté voisinage et vie de quartier!!). Lucile et Thomas ont dû chercher les toboggans et les bacs à sable toute la journée, mais ne se sont pas trop plaints. M. a pris beaucoup de photos, P. était avec une amie. Seul R. est resté à la maison et nous a fait la surprise de ranger tout le rez de chaussée pour notre retour. Mais tout le monde connaît la fameuse exception qui confirme la règle...

Giverny, mise au point à fleur d'eau

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Ce matin, nous sommes allés voir les vieux bateaux à Douarnenez, sous un soleil magnifique. Lucile et Thomas ont adoré. Les grands sont venus, c'est déjà ça...

Lucile et Thomas ont tenu à montER à bord du "bateau pirate", en fait un bateau corsaire, mais bon, à leur âge, on ne fait pas la différence!

Thomas est passionné par les drapeaux en ce moment... il a été servi!

Les drapeaux ne doivent pas beaucoup intéresser les grands... Ils ont préféré se prendre en photo à la terrasse d'un café. Mais j'aime bien cette photo là de R. par M. 

Hier soir, comme quasiment chaque soir, promenade au coucher du soleil, mais cette fois ci le long des champs de blé.

Cet après midi, plage après l'arrivée du tour. Encore plus beau, l'eau encore plus chaude, un vrai régal... Il me fallait bien ça: quelques heurts avec mes grands et une suspicion de maladie de Lyme chez Lucile (due à une tique) qui me tracasse...

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coq peint par M., il y a bien longtemps, guidée par son grand père

Mon ordi est HS. Pas sûre de pouvoir le récupérer. J'espère retrouver au moins mes fichiers. Heureusement, j'ai des sauvegardes assez récentes (pas que je sois particulièrement prévoyante, plutôt consciente d'avoir un ordinateur de m... pas très fiable!). Alors, pas bien sûre de pouvoir poster ces prochains jours (en même temps ça ne va pas déranger grand monde!)

Blog en chômage technique!

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◘ faire cuire/dorer des demies endives (dont le cœur amer aura été enlevé) dans une poêle beurrée (bon, moi qui ne suis pas très beurre, j'ai utilisé de l'huile d'olive!): les endives doivent rendre  pas mal leur eau ◘ beurrer un moule à tarte, le saupoudrer de sucre et couvrir le fond de tranches de fromage de chèvre (genre crottin de chavignol) ◘ mettre les endives sur le fromage puis couvrir d'une pâte brisée un peu épaisse ◘ cuire au four... je dirais 30min à 200°  mais ne suis plus sûre! ◘ renverser la tarte et servir avec une salade (et une bonne bière!!) ◘

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lumière du soir sur carrot cake

250g de farine   ♦   90g de beurre salé mou   ♦  300g de carottes rapées finement   ♦  50g de raisins secs trempé dans du rhum   ♦  60g de noix de pecan   ♦   100g de sucre   ♦  100g de vergeoise brune   ♦  1cc de cannelle en poudre   ♦  1cc de gingembre en poudre   ♦  1/4cc de noix muscade râpée   ♦  3 oeufs   ♦  1 sachet de levure

Préchauffer le four à 150°. Mélanger beurre, sucre et vergeoise en pommade. Ajouter les oeufs battus et bien mélanger. Puis verser la farine et la levure. Mélanger. Mettre enfin les carottes, les raisins, les noix de pécan grossièrement écrasées et les épices. Verser dans un moule neurré et enfourner. Faire cuire environ 40 minutes. (Devant partir, j'ai programmé mon four tout pourri un peu moins longtemps mais le gâteau a fini de cuire dans le four encore chaud).

Recette mixée de recettes trouvées deci delà. On le voit souvent napé d'un glaçage blanc.

C'était, pour E. en souvenir d'un pique nique à Brooklyn (si c'est pas chic ça!!)

l'après midi au pied du Brooklyn bridge

Le billet-recette-de-cuisine, super fastoche, de la fille qui n'écrit plus sur son blog, qui ne fait plus de photos non plus, qui râle dans son coin et qui, les jours de bonne humeur se fait saper le moral par le retour des... POUX!!!

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...dans mes rêves! Car, dans la vraie vie, il fait gris et froid!

Un petit jeu photo, pour voir le printemps s'installer, petit à petit...

ma courette (ça va peut être me donner envie de l'arranger!!!)

de mon bureau

Célébrons le Printemps! Un jeu tout simple...  Pour participer: une photo, prise du même endroit chaque semaine d'ici à la fin mai - début juin pour mieux voir arriver la belle saison. Laissez-moi un petit com quand votre photo est publiée!

Ici, ce sera deux photos, toujours le même sujet, tous les mercredis à 7 heures.

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petite pause musicale...

...en écoutant ce CD, très chouette!

L'automne et les pluies laissent un peu de place à quelques jours d'été indien. Les grands parents lyonnais partent quelques heures avant l'arrivée des grands parents vauclusiens. Et dans une semaine ce sera à notre tour d'aller et venir de-ci de-là...

(Par contre une constante: mon manque d'inspiration, grosse flemme et pas grand chose à dire!)

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Quoi de plus chouette qu'un mercredi avec école (et sans pluie!!!)? Un mercredi avec école juste après un week end de quatre jours (hé oui, on a pris du rab!) rien qu'à deux!!! Trois nuits dans une chambre d'hôte très, très, très chouette (là), trois jours de randos (certes souvent avec les pieds mouillés), trois jours à passer entre les gouttes (j'ai même mis un peu de crème solaire!), trois jours de paysages doux et verts, très verts.

Quelques photos (que j'ai du mal à disposer ici comme je le souhaite!). Au milieu de tout ce vert, beaucoup de fleur (souvenez vous c'est le printemps!!!), la pierre chaude des maisons, les champs de colza, quelques vaches bien sûr (curieusement pas vu le fameux cheval percheron!) et deux chênes remarquables (dont celui de la Lambonnière)

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de Bordeaux à Carpentras, presque tout droit

La semaine dernière j'ai fini d'organiser nos vacances (et commencé la déclaration d'impôts!!!). Fini, du moins pour l'instant: je ne suis pas à l'abri d'une invitation d'un des grands à droite ou à gauche, invitation à caser dans un été déjà bien rempli. J'ai fini par une semaine à travers la France, d'ouest en est, par une semaine à six seulement: si à chaque demande de disponibilité j'annonçais la présence de deux adultes et quatre enfants avec un pincement au coeur, il faut bien l'avouer, à six c'est plus simple qu'à sept! Nous allons donc alterner les "on s'tape l'incruste", chambres d'hôtes avec piscine et gîtes de groupe pour randonneurs (et pour nous, les dortoirs pour 6, c'est l'top!!!). J'ai promis aux petits des grottes et des châteaux forts. Je n'ai pas dit aux filles qu'il n'y aura pas toujours de wifi! Et j'espère qu'on retrouvera quelques points d'eau de notre rando sur le chemin de Stevenson.

Peut être avez vous des visites à me conseiller?

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il y a deux semaines

Ce samedi pluvieux sera certainement bien différent de celui d’il y a deux semaines. Pas de parc, pas de toboggan, pas de vélo et encore moins d’essai de vélo sans roulettes (ouh lala, le vélo à deux roues c’est pas gagné !!!)… Par contre petit tour au forum des associations, pour trouver des activités pour occuper nos mercredis. Lucile et Thomas sont déjà inscrits à « l’éveil musical ». Lucile va peut-être essayer la danse, Thomas aimerait faire du dessin. P. va certainement arrêter le karaté pour commencer le badminton. R. continue le tennis et débute le rugby. M. cherche… Et puis toujours le piano.

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Chère Lo.. Je te le dis franco: ça ne va pas du tout! Le coup du voyant orange à plus de cinquante bornes de l'arrivée, soit près de quatre cents depuis le départ, quand je suis seule adulte à bord avec des jumeaux de même pas cinq ans et deux ados de treize dont une invitée... ça l'fait pas, ou plutôt grave flippant! Certes je peux te comprendre: quand on est Rom, en France depuis à peine cinq mois et qu'on t'annonce un petit voyage vers le sud... ça pue, petit relent de reconduite à la frontière. Mais là, t'inquiète! C'est juste les vacances! Pas un voyage scolaire!! Puis tes papiers sont en règle. D'abord t'es une bagnole. Tu serais humaine, je dis pas. T'aurais de quoi avoir une belle éruption de voyants oranges et même rouges. Mais pour les choses, c'est beaucoup plus cool. Tu peux être polluante, même avoir été fabriquée avec des produits chimiques de la mort, par des enfants, à l'autre bout du monde, t'es intégrée fissa, papiers qui vont bien avec tampons et tout l'toutim. T'inquiète! T'es pas un être humain. T'es un objet de consommation: cool! Alors tu te calmes des voyants. On va faire un petit check up, t'y as droit! Et puis après, que ça roule hein! Allez! TOUT-VA-BIEN!

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première photo (vraiment pas terrible) d'une série sur les grilles que je ne ferai certainement jamais

En ce moment j'ai beaucoup de mal à trouver l'inspiration pour venir ici. Mais ce n'est pas tout à fait vrai. J'ai souvent des tas d'idées, j'écris parfois, dans ma petite tête, de chouettes billets, que j'oublie vite ou que je laisse tomber (pas de bien haut!) les trouvant sans intérêt, avec le temps. Dimanche matin j'aurais pu faire l'effort de décrire Lucile et Thomas jouer aux cabanes dans le salon pendant que je cuisinais: ils étaient bien sages, la pagaille immense, mais jouaient si bien ensemble,pour une fois. Lucile portait ses ailes de fées, mais parfois elle se disait princesse ou bien elfe plutôt. Il en est de cette bulle virtuelle comme de mon existence bien réelle: un peu creuses! Je devrais faire telle ou telle chose, mais j'ai beaucoup de mal à passer à l'action. Je suis un peu comme dans ces cauchemars où je dois courir mais où mes jambes ne répondent plus (et en plus c'est sur une falaise et il y a du brouillard). Et, comme dans le couchemar, je ne sais pas quoi faire. Alors aujourd'hui j'ai pris des rendez vous médicaux que je devais prendre depuis des mois, mais je n'ai pas encore commencé le dossier de demande d'autorisation de travaux pour la nouvelle maison, je ne suis pas allée chez le vendeur de fenêtre pour lui demander un devis, je n'ai pas recherché d'escalier non plus... D'ici la fin du mois je devais arranger une nouvelle version de mon calendrier pour mes parents: pas fait. Depuis l'année dernière, j'avais envie de faire une petite histoire de la famille, en images, un arbre généalogique raconté et illustré: commencé tout juste... Je m'étais donné toute l'année scolaire pour trouver ma voie, monter un projet professionnel: même pas le début d'un commencement de vague idée... Je suis allée voir du côté des universités en ligne (comme celle-ci ou celle-là trouvée par chez elle) , mais suis restée paralysée... Je vais finir par devenir historienne des calendes grecques!

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Souvent le soir, c'est soupe (à la grimace!). Mais avec cette recette j'évite au moins de boire le bouillon (je ne comprends d'ailleurs pas bien l'expression, car, moi, justement, j'adore boire dans un grand bol le bouillon de trop, celui qui rendrait un potage trop liquide; je le bois en général bien avant le repas, seule dans la cuisine, quand les petits sont au bain)... Tout le monde aime (sauf les petits, mais comme il me reste toujours un peu de choux fleur  que je mélange pour eux avec trois coquillettes et une louche de béchamel, ils sont contents)!

Faire fondre deux trois oignons dans un peu d'huile ou de beurre. Ajouter une bonne cuillère à café de curry en poudre et deux bouillons dans un litre d'eau, et enfin le choux fleur (l'eau ne doit pas dépasser le choux fleur, sinon ce serait trop liquide). En fin de cuisson ajouter un peu de crème, puis mixer. Servir avec du jambon cru passé à la poêle et quelques herbes (avec des feuilles de roquettes et de la pancetta c'est top!).

Chez vous, quelle est la soupe préférée?

Bon week end!!!

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Quand j'avais l'âge de M., je suis allée en Toscane avec ma meilleure amie et sa famille. J'en garde le souvenir d'un beau voyage (honte à ma mémoire, me reviennent surtout l'épisode de la panne de voiture à San Marin et mon émerveillement devant un magnifique petit déjeuner à notre hôtel florentin!). Ce matin nous partons pour Florence: le temps s'annonce maussade, nous avons oublié tous nos appareils photo et Lucile a une angine...

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tarte aux prunes

Mine de rien, chaque jour, pour aller à l'école... et puis revenir... y retourner... quatre fois... l'air de rien, je parcours quatre kilomètres, les petits, deux... ce n'est pas rien! Alors je peux bien me faire plaisir d'une tarte. Ou deux? Et une poêlée de mirabelles au caramel? Les allées et venues aux activités du mercredi... miam, du rab' de curry de filet mignon!  Quelques réunions, toujours à pied! Tchin, une petite bière. Et pour le footing du matin, quenelles sauce écrevisses... Le sport, ma bonne dame, faut pas en abuser!!!!

Bon week end ♥

☺☺☺